Notre histoire

Tout commence en 1826...

Notre histoire commence à Lalouvesc en Ardèche, en France, où la Congrégation a été fondée par la jeune Thérèse Couderc et par le père Etienne Terme.

A Lalouvesc, de nombreux pèlerins viennent prier sur le tombeau de St Jean François Régis, un jésuite qui a évangélisé ce pays deux siècles plus tôt. Devant les mauvaises conditions d’accueil, le Père Terme, qui anime ce pèlerinage, pose la première pierre de ce qui deviendra le Cénacle : il ouvre une maison pour accueillir les femmes et en confie la responsabilité à Marie Victoire qui vient de prendre le nom de Sœur Thérèse. Très vite, Sœur Thérèse va suggérer et obtenir du Père Terme de n’ouvrir la maison qu’à des femmes désirant faire au moins trois jours de prières et de recueillement à l’occasion de leur pèlerinage ; c’est la deuxième pierre de fondation ! La troisième pierre est posée par le Père Terme qui vient de découvrir les bienfaits de la retraite selon les Exercices Spirituels de St Ignace. Il invite les sœurs à utiliser cette méthode de prière et ce chemin de conversion pour aider les femmes qu’elles accueillent à faire un pèlerinage qui porte...

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Notre histoire commence à Lalouvesc en Ardèche, en France, où la Congrégation a été fondée par la jeune Thérèse Couderc et par le père Etienne Terme.

A Lalouvesc, de nombreux pèlerins viennent prier sur le tombeau de St Jean François Régis, un jésuite qui a évangélisé ce pays deux siècles plus tôt. Devant les mauvaises conditions d’accueil, le Père Terme, qui anime ce pèlerinage, pose la première pierre de ce qui deviendra le Cénacle : il ouvre une maison pour accueillir les femmes et en confie la responsabilité à Marie Victoire qui vient de prendre le nom de Sœur Thérèse. Très vite, Sœur Thérèse va suggérer et obtenir du Père Terme de n’ouvrir la maison qu’à des femmes désirant faire au moins trois jours de prières et de recueillement à l’occasion de leur pèlerinage ; c’est la deuxième pierre de fondation ! La troisième pierre est posée par le Père Terme qui vient de découvrir les bienfaits de la retraite selon les Exercices Spirituels de St Ignace. Il invite les sœurs à utiliser cette méthode de prière et ce chemin de conversion pour aider les femmes qu’elles accueillent à faire un pèlerinage qui porte du fruit dans le concret de leur vie. Quelques années plus tard un prêtre jésuite qui soutient  la congrégation naissante va apporter une nouvelle pierre de fondation quand il va proposer aux sœurs de s’inspirer, dans leur vie comme dans leur apostolat, de ce que Marie a vécu avec les disciples de Jésus entre l’Ascension et la Pentecôte. La Congrégation des « Sœurs de Notre Dame de la Retraite au Cénacle » est née !

Notre histoire 6
Sainte Thérèse Couderc

La vie de Sœur Thérèse va être marquée par des épreuves principalement liées aux difficultés de gouvernement de cette petite congrégation naissante. On la trouve incompétente et on l’accuse injustement. Elle va choisir, tout en soutenant de sa prière, de son travail et de sa foi la petite congrégation, de rester dans l’ombre et le silence. Elle intervient seulement quand elle y sera invitée à des moments clés qui engagent l’avenir du Cénacle. Jusqu’à sa mort à Lyon en 1885, elle s’unit davantage au sacrifice du Christ pour le salut du monde. Sa vie intérieure que nous connaissons grâce aux lettres qu’elle écrivait à ses supérieures est marquée en particulier par deux temps forts durant lesquels elle fait l’expérience de la bonté infinie de Dieu et se livre à Lui sans réserve pour correspondre à cet amour.

Sœur Thérèse meurt à Lyon en 1885 ; elle a 80 ans. La Congrégation est déjà implantée dans plusieurs diocèses et en Italie. Sœur Thérèse est canonisée par le Pape Paul VI en 1970. En 2020 nous fêtons le cinquantième anniversaire de la canonisation.

Thérèse n’a jamais vu Dieu mais elle a appris à voir comme Dieu voit. Elle n’a pas vécu d’événements extraordinaires...

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La vie de Sœur Thérèse va être marquée par des épreuves principalement liées aux difficultés de gouvernement de cette petite congrégation naissante. On la trouve incompétente et on l’accuse injustement. Elle va choisir, tout en soutenant de sa prière, de son travail et de sa foi la petite congrégation, de rester dans l’ombre et le silence. Elle intervient seulement quand elle y sera invitée à des moments clés qui engagent l’avenir du Cénacle. Jusqu’à sa mort à Lyon en 1885, elle s’unit davantage au sacrifice du Christ pour le salut du monde. Sa vie intérieure que nous connaissons grâce aux lettres qu’elle écrivait à ses supérieures est marquée en particulier par deux temps forts durant lesquels elle fait l’expérience de la bonté infinie de Dieu et se livre à Lui sans réserve pour correspondre à cet amour.

Sœur Thérèse meurt à Lyon en 1885 ; elle a 80 ans. La Congrégation est déjà implantée dans plusieurs diocèses et en Italie. Sœur Thérèse est canonisée par le Pape Paul VI en 1970. En 2020 nous fêtons le cinquantième anniversaire de la canonisation.

Thérèse n’a jamais vu Dieu mais elle a appris à voir comme Dieu voit. Elle n’a pas vécu d’événements extraordinaires mais elle a connu comme nous : les conflits humains, l’affection, le rejet, la reconnaissance, les périodes de crises, la réalisation de son désir, la maladie, les séparations, la paix et la joie. Comme nous aussi sa foi a été traversée d’obscurités et de certitudes. En tout cela, elle a su découvrir la présence de Dieu et elle nous invite à la sainteté au quotidien. Ce fut son chemin de vie, c’est pourquoi elle a pu dire : « Je recommencerai volontiers ma route, j’ai si bien trouvé Dieu. »

La première assemblée de l’Eglise naissante autour de Marie, priant et accueillant l’Esprit Saint, inspire toujours la famille du Cénacle. Sœurs et laïcs cherchent à avancer toujours plus sur le chemin tracé par le Père Étienne Terme et Sainte Thérèse Couderc.

Notre histoire 7
Au service de la foi

Sainte Thérèse Couderc a eu l’audace de fonder une congrégation ni hospitalière ni enseignante, mais où des femmes exercent un vrai ministère de la parole et de l’écoute au service de la foi. La fondation, l’idée même de la Congrégation était audacieuse et la force de cette femme l’a faite grandir et vivre jusqu’à aujourd’hui !

 

 

Sainte Thérèse Couderc a eu l’audace de fonder une congrégation ni hospitalière ni enseignante, mais où des femmes exercent un vrai ministère de la parole et de l’écoute au service de la foi. La fondation, l’idée même de la Congrégation était audacieuse et la force de cette femme l’a faite grandir et vivre jusqu’à aujourd’hui !

 

 

Notre histoire 3
Les textes fondateurs de notre spiritualité 

En 1 minute, sœur Marielle nous parle de deux textes de Sainte Thérèse Couderc : La Bonté de Dieu, qui se révèle en tous lieux et Se livrer, une invitation à découvrir comment je suis appelé(e) à correspondre à l'Amour de Dieu.

DES PUBLICATIONS POUR ALLER PLUS LOIN

 

Thérèse Couderc : la femme la sainte

Quelques essais sur la spiritualité de Thérèse Couderc, 1805-1885, la femme, la sainte. Sœur Paule de Lassus, 1985, Imprimerie Lescuyer Lyon. Pour vous procurer la livre, merci de nous contacter ou d’écrire à la Communauté de Montmartre (9, rue Lamarck 75018 Paris, France).

Prier 15 jours avec Sainte Thérèse Couderc

Ecrit en 2005, par sœur Hélène Caumeil et sœur Chantal de la Forge, ce livre permet de découvrir la fondatrice des Sœurs du Cénacle, Ste Thérèse Couderc et sa profondeur spirituelle. Le livre est disponible via les plateformes classiques : la Fnac, Amazon, Abebooks… ou en cliquant directement ici.

Notre histoire 9
Notre histoire 10
Notre histoire 11
Prière du moment